lundi 12 novembre 2012

Aterrissage à Prestwick et premiers pas à Glasgow

Ah les vacances tant attendues! Que c'est vite passé! Heureusement me replonger dans les photos et les souvenirs les prolonge un peu.
J'ai trouvé que c'était une bonne destination car j'avais besoin de nature (dit la fille qui habite un bled paumé^^) mais en même temps d'activités à l'abri vu la saison. J'ai été bien servie! Se balader, admirer l'architecture quand la pluie s'interrompt; et zou au musée quand il pleut! Il y en a de nombreux gratuits et passionnants. 

Prestwick 

Arrivée de nuit, je voulais absolument aller voir l'océan avant de partir pour Glasgow. Je n'avais pas eu l'occasion d'aller à la plage cet été et ça m'a bien manqué. Le fait que l'Ecosse soit la "patrie" du golf ne gâche rien. Ses paysages vallonnés de pelouse anglaise entretenue avec précision sont très photogéniques^^
Après cette recharge d'ions négatifs (et d'ondes positives) , direction Glasgow.

 


Ce sont des clichés que j'ai pris du côté de la cathédrale de Glasgow. Du fait d'une forte industrialisation, à Glasgow, l'ancien et le nouveau forment un mélange hétérogène. Cela requiert parfois plus d'attention pour remarquer la beauté d'un lieu. J'ai été bien incapable de prendre des photos dans le centre ne sachant quel point de vue adopter.



Détail du portail du cimetière jouxtant la cathédrale.

Dans ce quartier, j'ai bien aimé le St Mungo museum of religious art and life. C'est rare de voir rassembler en un même lieu l'objet et les principaux rites de chaque religion.
De manière plus générale, j'ai aimé les quelques musées que j'ai visités en Ecosse. Les collections sont variées et, de pièce en pièce, on voyage d'une époque à une autre, d'un thème à un autre. Tableaux, sculptures, objets du quotidien caractéristiques d'une époque, bijoux... Pas le temps de se lasser! Mais de l'avis de mon chéri, c'est déroutant. Moi je trouve que ça change. 
Ce que j'ai préféré, c'est qu'ils semblent organisés régulièrement des "événements" où ils demandent l'avis aux visiteurs sur les œuvres qui les marquent. Au Kelvingrove art gallery and museum, ils les avaient interrogés sur le beau: quelle œuvre trouvaient-ils belle ou laide et pourquoi. La vieille question dont l'intérêt ne réside pas dans une réponse conclusive mais dans l'échange des points de vue.  En effet, des témoignages, il ressort que ça a bien souvent un rapport avec notre propre vécu. Les perceptions changent d'une personne à une autre: quand dans une belle épée, je vois la beauté de l'artisanat; un autre y voyait l'arme et le malheur qu'elle peut causer. Pour moi, c'est vraiment un objet d'histoire, je ne pouvais m'imaginer qu'on puisse s'en servir...

J'arrête là pour aujourd'hui. Je reviendrai avec quelques photos du quartier de Kelvingrove à Glasgow, puis d’Édimbourg
Douce semaine à tous. 
 




2 commentaires:

  1. très belles photos! Et j'aime beaucoup le petit écureuil sur la dernière...

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    1. Merci :) Cet écureuil était trop rigolo, on dirait qu'il faisait exprès de prendre des poses pour qu'on le prenne en photo!

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